SCREAM FOR ME SARAJEVO (de T. Hodzic) | lundi 25 juin à 20h30 | discussion avec le photographe Andrej Djerkovic

SÉANCE SPÉCIALE

SCREAM FOR ME SARAJEVO

un film de Tarik Hodzic

  lundi 25 juin à 20h30

suivi d’une discussion avec le photographe Andrej Djerkovic

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SCREAM FOR ME SARAJEVO

Un film de
Acteurs
Bruce Dickinson, Alen Ajanovic
Pays Bosnie-Herzégovine 2017
Durée 1h35
Âge légal/suggéré 16/16
Genre Documentaire
Langue V.O. sous-titres français

En plein siège de Sarajevo, entre snipers et tirs de mortiers, un groupe de heavy metal accepte de se produire sur scène… Scream for Me Sarajevo retrace l’histoire stupéfiante d’un concert rock pas comme les autres, celui de Bruce Dickinson (membre actuel de IRON MAIDEN) et son groupe en 1994. Au risque de leur vie, ils furent introduit clandestinement dans la ville assiégée pour offrir un concert plus que mémorable à ses habitants.

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AndrejPhotoDCP

SARAJEVO: LES AUTRES

Andrej Derkovic

SARAJEVO: LES AUTRES est une série de portraits photographiques de citoyens de Sarajevo et amis personnels de l’auteur, qui ne s’insèrent pas dans la bizarrerie des classifications nationales présentes dans la société contemporaine de Bosnie-Herzégovine.

Les Autres, se réfère, d’une part, à la notion de minorités nationales telle qu’elle est mentionnée dans les Accords de Dayton, irréelle et difficilement définissable et, d’autre part, au dilemme mythique présent à Sarajevo dans l’opinion publique locale, entre ceux qui sont restés à Sarajevo, pendant le siège, et ceux qui sont partis.

Les Autres de cette série, ce sont ceux qui, fidèles à leurs principes, sont restés pendant tout le siège, dans leurs foyers, dans leur ville (qu’ils y soient nés ou non), laquelle représentait l’habitat de leur existence personnelle. Ces principes, ils les ont gardés après la guerre, malgré le système institutionnel boiteux de ce pays, issu de la Constitution définie dans les Accords de Dayton, dans lequel ils ne s’insèrent pas car il institue une division artificielle et tribale de leur propre nation. Cette division ne correspond pas à la conception qu’ils ont de la société où ils vivent. Aussi, c’est sciemment, eu égard à leur force de caractère et à leur personnalité, qu’ils en sont restés en dehors.