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Séance spécialeHAWAR, NOS ENFANTS BANNIS |
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En présence de la réalisatrice Pascale Bourgaux et de son co-auteur Mohammad Shaikhow En 2014, Daech envahit le nord de l’Irak, où vit la communauté yézidi. Ils séparent les familles, assassinent les hommes et kidnappent les femmes et les petites filles, qui seront « offertes » aux combattants du djihad. La reporter et cinéaste Pascale Bourgaux raconte le destin des enfants nés de cette captivité, les « bâtards de Daech », et fait la lumière sur ce drame humain. Ana traverse le Kurdistan clandestinement pour revoir sa fille Marya, qu’elle n’a plus vue depuis quatre ans. Comme de nombreuses femmes yazidies, une minorité religieuse d’Irak, Ana a été enlevée par Daech en 2014. Elle a survécu et est revenue dans sa communauté, mais pour l’accepter, les siens l’ont forcée à abandonner son enfant né des viols des djihadistes. |
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Séance spécialeBILDER IM KOPF |
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Précédée d’une introduction de Maria Halphen, fondatrice de Meeting for Minds Et suivie d’un échange en présence de la réalisatrice Eleonora Camizzi En collaboration avec Let’s Doc!, Meeting for Minds et la Clinique de Belmont Porté par une magnifique mise en scène qui brouille les pistes du réel, ce documentaire remet en question les frontières entre malade et sain, juste et faux, étranger et familier, et tente de rapprocher la réalité de l’utopie. Dans un décor sobre et immaculé qui évoque l’hygiène et la rigueur des milieux médicaux, Eleonora Camizzi prépare un espace de dialogue avec son père diagnostiqué de schizophrénie. Elle questionne leur vécu, entre stigmatisation et absences. Un espace blanc sur lequel on peut dessiner de nombreuses histoires, mettre en scène des actes manqués et recouvrir de peinture blanche les événements les plus désagréables. Ensemble, le père et la fille explorent la frontière entre réalité et imagination, attente et construction mentale, normalité et folie. Un exercice douloureux, touchant mais aussi fascinant sur le pouvoir des images et les mécanismes du cinéma, sur la relation entre le réalisateur et le spectateur, entre les images projetées et l’identification à ces images. |
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ALL THAT’S LEFT OF YOU |
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Dans les instants qui précédent la confrontation d’un adolescent palestinien à des soldats israéliens dans une manifestation en Cisjordanie, sa mère raconte la série d’événements qui l’ont conduit à ce moment fatidique, en commençant par le déplacement de son grand-père de Jaffa en 1948. All That’s Left of You est un drame historique épique qui retrace l’histoire d’une famille sur trois générations et qui examine la transmission des traumatismes. |
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Dernière séanceON FALLING |
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Aurora travaille à Édimbourg, en Écosse, comme magasinière dans un centre de distribution d’un géant de la vente en ligne. Prise entre le quotidien monotone de l’entrepôt anonyme et la solitude de sa chambre, elle risque de dépérir dans l’isolement et de s’éloigner d’elle-même. Aurora tente de préserver les contacts humains dans la big economy dirigée par les algorithmes et de ne pas se perdre elle-même à l’époque de la numérisation. « Filmer le travail dans le monde ultra néolibéral revient à présenter son aliénation et Laura Carreira, avec son premier long métrage, s’inscrit à cet égard dans la continuité des Temps modernes [Charlie Chaplin, 1936], remplaçant l’humour burlesque par un drame mutique omniprésent. Le travail qui isole l’individu dans des gestes répétitifs est filmé ici avec soin par une caméra attentive au moindre détail dans lequel apparaît en filigrane une histoire de vie. Cette immersion dans le quotidien d’une travailleuse anonyme pour un client absent et une hiérarchie professionnelle invisible rend compte d’une auto-exploitation sans issue. […] Les séquences se succèdent révélant une profonde détresse humaine avec pudeur et perspicacité dans des scènes où l’émotion est à fleur de peau avec toujours une grande sobriété dans l’approche de la mise en scène. » Cédric Lépine, Médiapart, 22 janvier 2025 Prix de la Meilleure Réalisation Saint-Sébastien 2024 – Joana Santos Prix d’Interprétation féminine Premiers Plans Angers 2025 |
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Dernière séanceVALEUR SENTIMENTALE |
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Agnès et Nora voient leur père débarquer après de longues années d’absence. Réalisateur de renom, il propose à Nora, comédienne de théâtre, de jouer dans son prochain film, mais celle-ci refuse avec défiance. Il propose alors le rôle à une jeune star hollywoodienne, ravivant des souvenirs de famille douloureux.
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En exclusivité – Dernière séanceWHERE OLIVE TREES WEEP |
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Where Olive Trees Weep offre une fenêtre poignante sur les luttes et la résilience du peuple palestinien sous l’occupation israélienne. Le film explore des thèmes tels que la perte, le traumatisme et la quête de justice. Nous y suivons, entre autres, la journaliste et thérapeute palestinienne Ashira Darwish, l’activiste de terrain Ahed Tamimi, ainsi que la journaliste israélienne Amira Hass. Nous assistons également au travail de guérison des traumatismes mené par le Dr Gabor Maté auprès d’un groupe de femmes ayant été torturées dans des prisons israéliennes. Les paysages anciens portent de profondes cicatrices, témoins de la réalité brutale de la confiscation des terres ancestrales, des expulsions, de l’emprisonnement, des démolitions de maisons, de la privation d’eau et du déni des droits humains fondamentaux. Pourtant, à travers le voile de l’oppression, transparaît une résilience — des racines profondes qui ont soutenu le peuple palestinien à travers des décennies d’obscurité et de vies brisées. Ce voyage émotionnel met à nu l’humanité des opprimés tout en posant une question troublante : qu’est-ce qui rend l’oppresseur si impitoyablement aveugle à sa propre cruauté ? |
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En exclusivité – Dernière séanceULTRAS |
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Ultras déconstruit les clichés médiatiques et politiques qui réduisent la culture ultra à ses dérives violentes. À travers un voyage immersif dans huit pays, la réalisatrice Ragnhild Ekner dévoile la diversité et la vitalité de ces mouvements, des collectifs féministes indonésiens aux figures historiques italiennes. Entre drapeaux, chants et fumigènes, le film célèbre le stade comme lieu de communauté, de révolte et de liberté. |
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Dernière séanceKRISHNAMURTI, LA RÉVOLUTION DU SILENCE |
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Pour Jiddu Krishnamurti, la vérité est « un pays sans chemin », une vision intime, en élaboration perpétuelle, qu’il ne prétend ni détenir ni transmettre. A chacun d’entrer en contact avec son enseignement profond, pour devenir « son propre maître et sa propre lumière ». Dans cette perspective, chère à Socrate, il en appelle à « une révolution silencieuse » : la connaissance de soi et le dépassement de la peur, pour s’ouvrir à la réalité de « ce qui est », seule voie d’accès à la dimension sacrée de la vie. Penseur inclassable dont l’enseignement naît de la conviction que les mutations fondamentales de la société ne peuvent aboutir qu’au prix d’une transformation de la conscience individuelle, le message de Krishnamurti continue de marquer par sa profondeur et son intemporalité. À partir de cette parole « splendidement insoumise », le film restitue simplement le souffle de son propos. La cinéaste Françoise Ferraton livre ici un documentaire qui mêle archives et images contemplatives, accompagnées d’une voix off qui égrène des bribes de discours ou d’écrits de Krishnamurti. Ce choix de montage déploie une grande poésie et développe un sentiment d’apaisement, autant qu’il cherche à pénétrer la pensée d’une des figures spirituelles les plus authentiques du XXe siècle. Un film qui n’enferme pas dans un sens mais qui voudrait être une invitation au ravissement… |
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Les petits cinéphilesTONY, SHELLY ET LA LUMIÈRE MAGIQUE |
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Tony, 11 ans, est né avec une particularité unique – il brille. Il passe ses journées à la maison dans son bunker de couvertures et rêve de se faire un ami. Avant Noël, une fillette singulière du nom de Shelly emménage dans son immeuble et bouleverse son monde. Ensemble, ils se lancent dans une aventure extraordinaire : trouver l’origine des mystérieuses tâches d’obscurité qui aspirent la lumière hors de leurs maisons.
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